dimanche 4 janvier 2009

the Authority revolution




Bon le R’N Roll c’est pas tout, je suis né sous le signe du geek il me faut donc reprendre mon dur travail de tâcheron de la critique après un achat massif de comics ce moi dont je vous livrerais quelques critique en temps voulu.

Je commence par the Authority , une série que j’ai découvert sur le tard mais qui a l’époque m’a toujours emballée par son ton volontairement provocateur. La série originale a été lancée par Warren Ellis et Bryan Hitch en 1999 et traduite très vite par Semic en 2000. La série a connu divers auteurs plus ou moins bon et s’était arrêtée. Aujourd’hui ils sont de retour là où l’histoire s’était arrêté : ils sont à la tête des Etats-Unis, ben oui c’est vrai des gus avec des super pouvoirs, en plus des héros, pourquoi qu’ils nous dirigeraient pas ? Tout cela sous la houlette du grand scénariste Ed Brubaker et du dessinateur Dustin Nguyen



Le fait est que cette équipe n’est pas très républicaine : le docteur est un shaman qui se pique à l’héro et qui doit prendre pas mal de champ, Appolo et Midnight sont des allégories de Superman et Batman et sont gay, Jack Hawksmoor parle aux villes et il est dans ces albums le président des States. Il faudrait aussi citer le porteur vaisseau spatial qui leur permet de se téléporter n’importe ou n’importe quand, c’est dire si cette équipe est puissante.

Mais que faire face à une population qui n’accepte pas les gays, la légalisation de la marijuana, les religions new-age de néo hippie cramés ? Vont-ils devenir une force oppressante, et devoir forcer ces abrutis de citoyens américains à accepter le progrès ?

Allez je vous laisse lire la suite ( ne vous inquiétez pas il y a aussi une bonne séance de baston contre des méchants bien classiques…) Ca reste quand même un must cette série…

1 commentaire:

Rlg_ a dit…

Mmmmh... ta culture dessinée me fascinera toujours.

Nous on est allé voir "the spirit" et je serais bien curieux d'avoir ton avis (pour ma part j'ai bien aimé le "dentiste et nazi la totale" mais moins les converse et la cravate rouge, qui pue le vieux look improbable entre michael jackson et un warren betty déguisé en fluokids